But des exercices:
-Ces exercices s'adressent au dérangement cervical uniquement, qui représente
la majorité, mais pas la totalité, des douleurs cervicales. Il
faut donc que vous soyez raisonnablement sûr du diagnostic. Il n'est pas
conseillé de lever une contracture protectrice et de se dévisser
la tête s'il existe une lésion vraie là-dessous. Prudence
en particulier si vous avez subi un traumatisme récent. Vous aurez lu
soigneusement la partie description des maladies du site. Vous aurez été
examiné au moins une fois par un médecin et eu des radios du rachis
cervical au moindre doute.
-Cependant, la plupart des douleurs cervicales chroniques viennent d'un excès
et non d'un défaut de précautions, surtout en milieu urbain où
la couverture médicale est satisfaisante et les problèmes d'hygiène
de vie sont favorisants. Alors lancez-vous!
-Une dernière chose: ces exercices peuvent paraître relativement
simples, trop simples pour venir à bout des douleurs très invalidantes
et anciennes dont vous souffrez, sur lesquelles se cassent les dents les médecins
et parfois les manipulateurs. A condition d'être très effectués
très correctement, ce sont effectivement des exercices simples. Mais
ils font néanmoins un travail physique en profondeur sur votre colonne.
Ces exercices MARCHENT remarquablement. Beaucoup de cervicalgies disparaissent
avec une seule séance. Ils sont la base du travail des ostéopathes.
Pourquoi ne sont-ils pas montrés par tous les kinés, me direz-vous?
La plupart ne sont pas formés à ces techniques mal codifiées,
leur formation est bridée par l'interdiction qui leur est faite de manipuler,
or la frontière est mince entre un étirement insistant et une
manipulation. De plus, il existe de la part de nombreux professionnels une rétention
de l'information. Si c'est trop facile, les bataillons de cervicalgiques n'auront
plus besoin de leurs services... Mais vous voici maintenant en possession des
secrets de la médecine physique! Libérez-vous de vos douleurs!
-La douleur du dérangement cervical est due à un trouble de fonctionnement
d'une articulation postérieure droite ou gauche. La cause exacte n'est
pas déterminée avec certitude. Il s'agit probablement du plissement
ou de l'incarcération dans la fente de l'articulation d'une de ses enveloppes.
Ce sont des tissus extrêmement riches en terminaisons nerveuses. Cela
explique, d'une part l'intensité de la douleur par rapport à une
cause somme toute bénigne, d'autre part l'irradiation de ces douleurs
parfois très à distance de la vertèbre (territoire cutané
des terminaisons nerveuses concernées). La douleur, importante, souvent
majorée de "coups de poignard" si l'on fait le mauvais mouvement,
entraîne une contracture sévère des muscles vertébraux.
Cette réaction naturelle "limite la casse", mais empêche
aussi le déblocage par les mouvements spontanés du cou.
-Les exercices doivent donc commencer par vaincre la contracture. Ils consistent
à faire une contraction musculaire suivie de relaxation (contracter-relacher)
sans bouger la tête, de façon à ne pas irriter l'articulation.
-Une contraction peut paraître inadaptée sur un muscle déjà
siège de contracture. Mais nous allons utiliser le signal de relachement
qui est envoyé à un muscle quand son contraire se contracte.
-Admettons par exemple que la rotation gauche de la tête soit limitée.
C'est à cause d'une contracture des muscles rotateurs droit (ils ne s'étirent
pas suffisamment pour permettre le mouvement jusqu'au bout). Pour relacher les
rotateurs droit, nous allons contracter leurs opposants, les rotateurs gauche.
Nous allons donc commencer par pousser le menton vers la gauche, tête
bloquée par la main gauche. Pour relacher toute la longueur des rotateurs
droit, nous allons répéter l'exercice en modifiant légèrement
la position de la tête à chaque fois.
-Une fois la décontraction obtenue, la douleur a parfois déjà
disparue. Mais le plus souvent, il reste un mouvement qui ne "passe"
pas, le petit blocage à l'origine de tous vos ennuis.
-Il faut alors se dévisser la tête, lentement mais de façon
insistante, en respectant 4 règles:
1) ne jamais forcer contre votre douleur habituelle
2) chercher l'axe de mouvement, mélange de rotation et de flexion plus
ou moins marquée de la tête, qui vous semble le plus facile à
forcer
3) placer une main à la base de la vertèbre douloureuse pour accentuer
l'écartement sur celle-ci
4) insister pendant au moins une minute sur le mouvement, en essayant de bien
se relacher, pour gagner quelques crans. Eventuellement si ça ne suffit
pas, lancez un peu votre tête dans le mouvement qui passe bien, pour accentuer
l'écartement.
Protocole des exercices:
1) Décapage (symétrisation)
-Le "décapage" cherche à redonner un fonctionnement
symétrique à vos vertèbres cervicales. C'est un travail
qui concerne purement la flexion avant-arrière de la tête. Le nez
doit rester bien pointé au milieu.
-Allongé, relaxé, tête droite et horizontale au départ,
placez vos 2 mains croisées derrière l'occiput.
-Inspirez, cherchez à regarder le mur derrière vous. En même
temps que vos yeux, votre menton se lève. Bloquez le mouvement de la
tête avec vos mains. Ne poussez PAS FORT. Maintenez seulement une pression
continue, sans bouger, pendant 6 secondes, le temps d'une inspiration lente.
-Relachez bien, soufflez pendant 12 secondes.
-Relevez votre tête de quelques centimètres avec vos mains (ne
cherchez pas à contracter les muscles du cou)
-Regardez à nouveau le mur derrière vous. Vos mains vous immobilisent.
C'est plus difficile. Mais ne poussez pas plus fort. Maintenez 6 secondes en
inspirant. Relachez 12 secondes en soufflant. Seules les mains vous maintiennent
la tête soulevée.
-Relevez votre tête de quelques centimètres supplémentaires
et recommencez. Faites ainsi 5 fois successives le contracter-relacher.
-A la dernière étape, le menton touche quasiment la poitrine.
Il est devenu impossible, nez droit, de voir le mur derrière vous. Ne
tournez surtout pas la tête pour essayer quand même. Vous bousilleriez
l'exercice.
-Après la 5è décontraction, ôtez les mains de derrière
la tête. Bloquez une main étendue horizontalement sous le menton,
en essayant de la comprimer sur le sternum. La contraction doit faire tenir
votre tête seule, même si c'est dur car la position n'est pas confortable.
Tentez de tenir 20 à 30 secondes. Puis relachez longuement, tête
posée en arrière.
-Si vous avez bien compris l'exercice, voici une variante à la fin, dite
de la "bouteille bordelaise": Pendant que vous comprimez votre main
avec le menton pendant 30 secondes, placez de l'autre une bouteille de vin sous
votre nuque. Vous l'aurez préparée à côté
de vous, entourée dans une serviette mince. En relachant la tête
en arrière, posez doucement votre nuque sur la bouteille et roulez-la
dessus par des mouvements d'élévation et d'abaissement du menton.
Cet exercice vise à redonner une courbure harmonieuse à vos vertèbres
cervicales. Il n'est pas destiné à faire vendre du pinard et n'importe
quelle bouteille pourra convenir du moment qu'elle est rigide et d'un diamètre
comparable.
Position de départ
 
Inspiration,
regard vers l'arrière. Le nez reste droit. Ne forcez pas. Maintenez 6
secondes.
Décontraction
12 secondes
 
Soulevez
la tête de quelques centimètres avec vos mains
Inspiration,
regard vers l'arrière en position 2
 
Relachement
12 secondes. Ce sont vos mains qui vous soutiennent la tête.
Souvelez encore
de quelques centimètres.
 
Inspiration,
regard vers l'arrière en position 3, ne soyez pas brute.
Décontraction,
puis encore un peu plus haut
 
Inspiration,
regard vers l'arrière en position 4. Le mur n'est plus visible, mais
ne forcez pas plus.
Décontraction
et étirement final en position 5 en fléchissant à fond
la tête avec les mains
 
Travail en
une seule fois des muscles opposés: contraction des fléchisseurs
du cou pendant 30 secondes
La "bouteille
bordelaise": roulez doucement votre nuque sur la bouteille, de préférence
assouplie d'une serviette
 
Faites quelques
va-et-vient en levant et baissant le menton
2) Décontraction (myotensif)
-Revenez à la position de départ, toujours allongé, tête
droite et horizontale. Testez "à vide" les rotations (menton
vers l'épaule droite puis gauche) et les inflexions latérales
(oreille vers l'épaule droite puis gauche).
-Ne forcez pas sur les mouvements limités. Repérez bien le sens
qui bloque (admettons que ce soit la rotation gauche) et arrêtez-vous
juste avant.
-Vous allez commencer le premier contracter-relacher VERS LE SENS DE LA DOULEUR,
en rotation gauche dans notre exemple (menton vers épaule gauche), mais
contre résistance de votre main gauche, sans bouger, ce qui évite
de vous entraîner vers la position douloureuse.
-Inspirez pendant la contraction, qui dure 6 secondes
-Expirez pendant le relachement, qui dure 12 secondes
-Ne POUSSEZ PAS TRÈS FORT contre votre main: c'est l'erreur la plus souvent
faite. Une poussée modeste mais constante suffit.
-Ne LEVEZ PAS la tête en même temps que vous poussez sur le côté.
L'occiput doit reposer tranquillement sur le lit.
-Vous allez pratiquer 5 fois ce contracter-relacher, en poussant à chaque
fois vers la gauche, tête bloquée par votre main. A chacune des
5 étapes, vous déplacez légèrement la position de
votre tête vers le côté droit.
-Vous contractez ainsi toute la longueur des muscles rotateurs gauche de votre
tête, et surtout vous décontractez les rotateurs droit, qui s'opposent
au mouvement.
-A la fin du 5è contracter-relacher, étirez votre tête à
fond en rotation droite si ce n'est pas douloureux, poussez-la avec votre main
gauche.
-Le travail musculaire devant toujours être parfaitement symétrique,
vous aller repartir en sens inverse:
-Votre tête est maintenant en rotation droite, pas tout à fait
maximale. Poussez (toujours gentiment) en rotation droite (menton vers épaule
droite) contre votre main droite.
-Refaites 5 étapes en décalant votre tête vers la gauche
à chaque fois. Pour vous aider à vous repérer, l'étape
3 doit logiquement se faire le nez droit vers le plafond.
-Comme vous retournez vers le sens douloureux dans notre exemple, la rotation
gauche, vous ne pourrez sans doute pas aller aussi loin que vers la droite.
-Mais vous irez déjà plus loin qu'au début de l'exercice,
ce qui va vous encourager. N'essayez pas de forcer l'étirement vers la
gauche. Repartez plutôt vers la droite pour refaire un aller-retour de
contracter-relacher en 2 fois 5 étapes.
-Si la rotation gauche n'est toujours pas libre, prenez votre tête entre
les 2 mains et faites des contractions alternées vers la droite et la
gauche plus rapides, de 2 ou 3 secondes, sans relachement cette fois-ci, et
en essayant de déplacer discrètement vers tête vers la gauche
avec vos mains pour gagner de ce côté.
-N'insistez pas trop si vous n'y arrivez pas. Cet exercice est un exercice de
décontraction. C'est une préparation, quasi-obligatoire, au dérouillage
proprement dit.
Retour à la position
de départ
 
Test de la
rotation cervicale gauche
puis de la
rotation cervicale droite
 
La rotation
gauche est limitée: stoppez le mouvement juste avant la douleur, bloquez
la tête avec la main sur la pommette et poussez (doucement) vers la gauche
Position 2.
A chaque étape, poussez 6 secondes en inspirant lentement, relachez 12
secondes en expirant
 
Position
3. Le nez est au milieu.
Position 4
 
Position
5
Etirement
final vers la droite: poussez bien la rotation à fond si elle n'est pas
douloureuse
 
Le travail
doit être symétrique: poussez vers la droite cette fois (menton
vers épaule droite)
Position 2.
Les 5 étapes ramènent votre tête vers la gauche.
 
Position
3
Position 4
 
Position
5
Si la résistance
a cédé, essayez aussi un étirement vers la gauche, sinon
recommencez un aller et retour.
 
Retour à
la position de départ.Testez maintenant les inflexions latérales.
Inflexion
latérale gauche: oreille gauche vers épaule
 
Inflexion
latérale droite: oreille droite vers épaule
Supposons
votre inflexion gauche limitée. Arrêtez avant la position douloureuse.
Bloquez votre tête. Infléchissez (doucement) à gauche.
 
Position
2. La main résiste sur la tempe. L'effort est toujours oreille vers épaule
gauche.
Position 3
 
Position
4
Position 5
 
Etirement
final en inflexion droite. L'autre main est plus efficace pour accentuer l'étirement,
qui doit rester indolore.
Repartez dans
l'autre sens: oreille droite vers épaule droite, main droite bloquant
sur la tempe.
 
Position
2
Position 3
 
Position
4
Position 5
 
Etirement
final en inflexion gauche, en s'aidant de l'autre main, et si les tensions ont
cédé.
Variantes pour cibler le travail sur le rachis cervical supérieur: utile quand
vous ressentez des douleurs hautes, à la base du crâne, ou si elles
s'accompagnent d'irradiations au crâne ou de troubles sensoriels (vertiges,
troubles de la vue, bourdonnements...)
2) Etirement (manipulation)
-Asseyez-vous à présent. Nez droit, testez différents degrés
de flexion vers l'avant et l'arrière de la tête. Placez-vous au
milieu de la zone la plus favorable (là où vous êtes le
plus à l'aise). Commencez une rotation lente vers la droite puis vers
la gauche. Arrêtez si vous sentez que votre douleur habituelle se réveille.
Forcez plutôt le mouvement de l'autre côté. Vérifiez
que vous pouvez aller jusqu'au bout du mouvement. Si vous n'êtes pas à
l'aise, essayez de combiner un peu d'inflexion latérale (oreille vers
l'épaule) droite ou gauche, à votre rotation. Changez éventuellement
l'inclinaison avant-arrière de la tête que vous avez choisi au
départ.
-Vous avez trouvé un mouvement qui passe bien. Cherchez doucement avec
le doigt sur le côté de la colonne vertébrale où
est votre point le plus sensible. Placez fermement votre main sur le côté
du cou, juste en dessous.
-Recommencez le mouvement qui passe le mieux et poussez-le jusqu'au bout. Insistez
pendant au moins une minute. Inspirez brièvement et soufflez longuement.
-Changez maintenant l'inclinaison avant-arrière de votre tête et
recommencez la rotation forcée. Les postures moins agréables au
départ deviennent plus faciles à étirer.
-Retournez voir prudemment du côté de votre douleur habituelle.
Elle peut avoir déjà disparue: arrêtez-vous. Ou elle se
déclenche moins vite: recommencez à vous étirer vers les
mouvements qui "passent".
-Vous pouvez insister contre une “tension”, mais pas contre une
douleur vive. Si vous ne savez pas très bien si la douleur que vous déclenchez
est normale ou pas, répétez quelques fois l'étirement:
si la douleur s'accentue: n'insitez pas; si elle s'atténue: poursuivez.
-Si vous avez l'impression de ne plus progresser, essayez de lancer un peu votre
tête, toujours vers le mouvement le plus facile, doucement au départ
puis plus vigoureusement, en gardant votre main bien fixée sous la vertèbre
douloureuse.
-Ne vous inquiétez pas si ça craque, c'est le signe d'un bon écartement
articulaire, rien n'est cassé (l'articulation est sous vide et quand
ses surfaces s'écartent, cela produit un bruit de cavitation gazeuse,
le fameux "crac"). Il ne faut pas cependant rechercher à tout
prix le craquement. Vous pouvez très bien aller mieux sans craquer. Beaucoup
de spécialistes de la manipulation s'en passent aussi.
-Vous pouvez aussi accentuer l'écartement en poussant ou en tirant sur
la tête avec votre autre main. Mais soyez très prudent. La main
est puissante et ne tire pas forcément avec précision dans l'axe
voulu. Exercez une pression ou une traction très progressive.
 
 
Autres
photos de ces étirements cervicaux
3) Entre les exercices
-Vous ne répéterez ces exercices que s'ils ne viennent pas d'emblée
à bout de vos douleurs. Si les douleurs étaient très vives
et se déclenchaient très facilement lors des mouvements de la
tête, il est judicieux d'utiliser temporairement un collier cervical mousse
pour maintenir votre tête dans la journée. Demandez à votre
pharmacien le modèle C1 de Thuasne. Vous ne l'enlèverez que quand
vous pratiquez les exercices, 3 ou 4 fois par jour. Sevrez-vous en progressivement,
au bout de quelques jours. Sinon une dépendance peut s'installer, mais
plus psychologique que réellement physique.
-Si le contexte quotidien favorise une rechute (travail de bureau, longs trajets
en voiture, postures figées de la tête en général),
prenez une minute de temps en temps pour vous tortiller et vous allonger le
cou, pratiquez quelques contracter-relachers simplifiés: tête droite,
poussez contre votre main à droite, à gauche, en avant, en arrière,
enfoncez-vous la tête avec les mains au sommet tout en essayant de résister.
Essayez de ménager quelques créneaux où vous bougeriez
un peu plus. La table de ping-pong au travail est une prévention idéale.
Vous pouvez également demander un petit massage à vos collègues
si vous n'avez pas peur de vous faire accuser de harcèlement sexuel!
Reproduction interdite sans l'accord du webmestre.
Variantes
pour cibler le travail sur les 2 premières vertèbres cervicales
(C1-C2)
Test de la flexion-extension
C1-C2: Placez une main ouverte saisissant le haut de votre nuque et le bloquant.
Faites le mouvement d'opiner ("oui oui").
 
Position
haute du "oui oui"
Position basse
du "oui oui".
 
Refaites
3 ou 4 étapes de mise en tension de l'arrière vers l'avant. La
main droite résiste tandis que la gauche maintient toujours fermement
le haut de la nuque
Après
la dernière étape, étirement vers l'avant, poussé
par la main droite.
 
Le travail
des muscles opposés est à nouveau une pression du menton sur la
main pendant 20 secondes, nuque maintenue
Etirement
final en arrière.
 
Passez au
travail de la rotation C1-C2. Changez de main pour maintenir la nuque, ça
vous détend le bras.
La rotation
C1-C2 est le mouvement de négation ("non non"). Le nez vise
le bord de la table. Partez d'une pression vers la gauche en position 1.
 
Arrivez à
la position 5 après avoir marqué 3 étapes intermédiaires.
La nuque est toujours fermement maintenue.
Retour. Position
1. Poussée vers la droite, nez vers le bord droit de la table.
 
Arrivée
position 5
Enfin, on
peut également insister sur l'inflexion latérale pour C1-C2. Position
1. Poussée oreille gauche vers épaule gauche.
 
Arrivée
en position 5
Retour. Position
1. Poussée oreille droite vers épaule droite.
 
Arrivée
en position 5
Encore
quelques photos d'étirements cervicaux
Position de
départ
 
Rotation
gauche en légère inflexion antérieure de la tête.
Suivez le chemin qui vous semble le plus aisé. Insistez bien pendant
1 minute.
Rotation gauche
avec inflexion plus modeste. Testez ces différentes positions avant de
forcer une rotation.
 
Rotation
droite avec petite inflexion vers l'avant
Inflexion
latérale gauche, un peu limitée: n'insistez pas sur les axes qui
ne "passent" pas
 
L'inflexion
latérale droite, elle, est facile.
Et vous pouvez
mélanger ces mouvements comme vous le sentez, ici en faisant une rotation
vers la gauche à partir d'une position en inflexion latérale droite.
 
Exercices > Rachis cervical > Diagnostic des cervicalgies et névralgies du bras >
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